Majelis à l'Université pour le jeune SHAHIM - 30 Sept 2012 - 4 - Shia 974" Chiite à l'Ile de la Réunion

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Majelis à l'Université pour le jeune SHAHIM - 30 Septembre 2012


Aouzou billahi minash-shaytanir rajim
Bismillahir Rahmanir Rahim

‘’ Wa bhash-shiris-Swabirinal-lazina izà assabhatahoum Moussibhatoune, Qàlou Inna lillahi wa Inna Ilayhi Rajioune ; Oulàà-iikà Aalay’him Swalawatoum
Mir-Rab-bhihim war-Rahamah;
Wa Oulàà-iika houmoul Mouh’tadhoune’’

Par le Nom d’Allah, Le Tout Miséricordieux, Le Très Miséricordieux

Mes respectables frères et sœurs,
Mes jeunes enfants bien-aimés,
Croyants et Croyantes, Honorable assistance,
Assalamou Alaykoum ! Que la Paix soit sur vous !


Les Versets du Saint Qour’an que j’ai eu l’honneur de réciter, aujourd’hui, devant vous tous qui êtes réunis ici, dans cette superbe salle qui est la propriété de l’illustre Université, où l’un des nôtres, venu acquérir la science dans ce temple du savoir, a rendu son âme, il y a une dizaine de jours, alors qu’il traversait le printemps de sa vie, le destin ayant décidé autrement, en sa faveur, nous commémorons ce requiem, cette cérémonie funèbre, les Saints Versets, donc, portent les numéros 156 et 157, et qui se situent à la 2è Sourate Al Baqarah ou La Vache. Je vous lis leur traduction :

‘’Et fais la bonne annonce aux endurants,’’ exprime Allah à la fin du Verset 156 pour continuer dans le suivant : ’’qui disent, quand un malheur les atteint : « certes, nous sommes à Allah et c’est à Lui que nous retournerons. »


Ceux-là reçoivent des Bénédictions de leur Seigneur, ainsi que la Miséricorde ; et ceux-là sont les bien guidés.’’

Honorable assistance ! Allah, Le Dieu Créateur, souligne l’importance de la patience, de l’aptitude de ceux qui ont les reins souples, en faisant la bonne annonce de Ses Bénédictions et de Sa Miséricorde aux gens qui supportent facilement la souffrance,  et les qualifient de bien dirigés. Il donne plus d’éclat et de force à Sa Parole en répétant, exactement, le mot ‘’çabr ou endurance’’ dans les Versets qui précèdent ceux-ci, comme il le réitère aussi en d’autres endroits, dans Son Noble Livre.

Le Saint prophète (saww) déclare :
‘’As – çabrou raa’ssoul Imâne, ‘’ le çabr ou la patience est à la Foi ce que la tête est au corps. Il ajoute : ‘’de même que le corps ne peut pas vivre sans la tête, la Foi ne saurait exister en l’absence de la patience.’’


Cette Foi est, donc, creuse celle qui perd la patience. Cette Foi est sans vie celle qui est dépourvue de l’endurance. Cette Foi est aux portes du trépas de celui dont l’esprit baisse et le cœur s’affaiblit devant les tempêtes qui secouent le navire de sa vie. Cette Foi est dans les bras de la mort de celui dont le miroir de l’âme est terni par la noirceur du pessimisme et de la perte de la confiance en Dieu.


La mission et le but de tous les Prophètes et Messagers, d’Adam (as) à Mouhammad (saww), en passant par Noé, Ibrahim, Moise, Jésus, qui sont au nombre de 124.000, ‘’chaque Communauté, chaque nation, a eu son Prophète,’’ proclame le Saint Qour’an, étaient d’éduquer les hommes en vue de les faire parvenir à l’élévation spirituelle et de les débarrasser des pensées futiles qui mènent vers l’égarement, vers la perdition.

La Religion n’est pas l’opium des peuples, mais elle est leur Salut, elle est la source des solutions à leurs problèmes qui les mènent parfois au bord de l’abîme, elle fortifie l’âme en peine comme ce médicament à une personne souffrant sur son lit de malade.

La Religion n’est pas la fausse, mais la vraie monnaie de l’espérance. Une Tradition Islamique affirme : ‘’Ne vendez pas votre âme à un vil prix contre le Paradis.’’

Une société sans Religion est un vaisseau sans boussole, disait Napoléon, et si je me réfère à Gandhi : la vie sans Religion est une vie sans principe, et une vie sans principe est semblable à un navire sans gouvernail.

Sur cette planète où le fils d’Adam est confronté à une lutte perpétuelle, la patience constitue son arme qui le protège de perdre l’équilibre et le sang-froid, qui l’aide à combattre les malheurs de pied ferme, qui l’empêche de commettre les péchés, qui le retient de l’égarement. Il se confie à son Seigneur dont il sait qu’Il ne le mettra jamais aux épreuves, aux tristes destinées, plus qu’il ne peut avaler.


Le Commandeur des Croyants, l’Imam Ali (as), se levait pour effectuer 2 Unités de Prière avec 2 génuflexions et 4 prosternations, lorsqu’il se noyait dans des difficultés,  avant de quitter son domicile pour résoudre son problème, en récitant le Verset du Saint Qour’an qui précède ceux que je viens de vous lire :
‘’WASTA’ÏNOU  BIç-ÇaBRI WAç-çALAH ‘’= Ô les Croyants ! Cherchez secours dans l’endurance et la Prière appelée Salat, car Allah est avec ceux qui sont endurants.

Le mot arabe Sabr qui définit l’endurance, est composé de 3 alphabets : S – B – R. Je voudrais disséquer ce mot pour en tirer les perles que je partagerai avec vous :

- Swad, une lettre qui n’existe ni dans ma langue maternelle, ni dans celle que je parle. A partir de cette expression, on peut créer le mot ‘‘SWAM’T’’ qui a pour sens : le silence, le fait de se taire, de clouer le bec.
Contrôler, fermer, retenir sa langue, ses yeux, ses oreilles, ses mains et pieds,   sa pensée, verrouiller tous les membres et organes de son corps et imposer silence aux médisances, au mensonge, à la calomnie, aux regards indiscrets, aux propos injurieux, obscènes ou grossiers, aux sons enragés ou aux bruits imposteurs, à la nourriture illicite, aux actes menant à la débauche, à la vie perverse, à l’égarement. . . .
- Bâ, différent du ‘’B’’ français quant à sa prononciation, forme le mot ‘’BIRR’’ qui veut dire : le Bien, la charité, la bienfaisance, le dévouement, la générosité.
Celui qui est armé de Sabr doit être, en général, un homme de bien, qui ne cesse de faire de bonnes œuvres, partout où il se trouve, sans distinction de pays, de race ou de couleur, qui est régulier dans ses Prières et actes d’Adoration, . . .
qui se soumet parfaitement aux Ordres Divins. Le Musulman ne doit pas s’enfermer dans son cocon comme ferait le ver à soie, mais c’est un homme qui doit avoir l’ardeur  philanthropique, qui doit être rempli de l’amour de l’humanité, comme dit une Tradition Islamique : le Musulman a 2 frères : l’un est frère dans la Religion, l’autre est frère dans l’Humanité.
- Râ vient de ‘’RAY’HAN’’ qui désigne une fleur odoriférante comme le myrte ou le basilic. L’odeur de ses actes, de sa conduite, de ses bonnes manières, de ses aides et sympathies, de ses bonnes relations, de son sourire, de ses Prières et Adorations, de son respect, de ses conseils et idées, embaume l’atmosphère de la société. Il est en bonne odeur, en odeur de sainteté. Il garde le silence, mais sa vie parle. On n’oit que le silence par SWAM’T, mais il y a une éloquence, définie comme peinture de la pensée,  qui pénètre plus que la parole ; on ne voit que l’homme et ses œuvres par BIRR, mais l’encens, le doux parfum qui s’exhale de RAY’HAN, s’élève jusqu’à Dieu, Le Seigneur des mondes.  

Croyants et Croyantes ! Honorable assistance ! Le Verset ‘’Inna lillahi wa inna ilayhi rajioune’’ (certes, nous sommes à Allah et c’est à Lui que nous retournerons), que j’ai fait lecture au début de ce sermon, est récité, comme vous le savez,  quand arrive un malheur et, surtout, lorsqu’on apprend la triste nouvelle de la mort, pour laquelle Allah annonce dans Son Livre Saint, à la Sourate 29, L’Araignée, et au Verset 57 :
Koullou Naf’sîne Zay’katoul Mawt, çoumma Ilayna Tour’ja’oune

(Toute âme goûtera la mort ; ensuite, c’est vers Nous que vous serez ramenés)

Comme ce Majelis ou la cérémonie funèbre est organisé comme Prière de requiem, il sied bien d’évoquer la mort en quelques mots, ‘’ KAFÂKOUMBIL MAWTI WAÏZANE ’’
(La meilleure exhortation pour vous est la mort) affirme une Tradition Islamique, cet état perçu, à tort, comme la fin de la vie, par opposition à la naissance.
La mort est inéluctable, imprévisible, car elle peut arriver à tout moment, sans prévenir, mais qui advient infailliblement. Elle arrache le bébé du ventre de sa mère comme des siens celui ou celle qui goûte le dernier âge de sa vie, en faisant traverser les parents dans la tragique épreuve lorsqu’elle frappe les jeunes cœurs.

Le monde n’a jamais connu une personne et ne la verra jamais qui nie le concept de la mort. Les 7 milliards d’êtres humains qui peuplent cette planète ne croient pas tous, à 100%, à Dieu, comme il a toujours été depuis la nuit des temps, Pharaon, Nimroud, Coré ou Karoun et compagnie sont allés plus loin en se proclamant eux-mêmes Dieu. Une partie, bien qu’elle soit maigre, nie Dieu, le Prophète, la vie après la mort, le Paradis et l’Enfer . . .  Cependant la mort est une vérité irréfutable qui soumet tout le monde, les Croyants comme les athées, les habitués de la paroisse ou de la Mosquée comme aussi ceux qui ne vont ni à messe ni à prêche,  à croire à la mort. On rejette Le Créateur de la mort, mais on ne rejette pas Sa créature, la mort elle-même. Il me semble que la mort serait un meilleur moyen pour Dieu de faire plier l’humanité à avoir foi en Lui et en Ses Prophètes, en Sa Religion et en Ses Lois.
Nous pourrions nous adresser à Allah : Ô Seigneur ! Tu aurais mieux fait de demander à l’homme, la meilleure de Tes créatures, de Te croire et de croire à Tes Prophètes, sinon la mort surviendra à tous ceux qui nient Ton Existence, en dispensant les Croyants. Qui aurait le courage de T’affronter ? Il serait obligé d’obéir à Ton Ordre.
La réponse ne tarderait pas à venir : la mort est Ma créature, dira-t-Il, comme toutes les autres qui existent dans l’univers et l’univers lui-même.

‘’Allazi Khalaqal Mawta wal Hayata li Yab-lou-wakoum
Ayyoukoum Ah’ssanou Aamala’’

(Celui Qui a créé la mort et la vie afin de vous éprouver,
qui de vous est le meilleur en œuvre . . .),

nous annonce Allah au début de la Sourate 67, La Royauté.


Allah veut qu’on croie à la mort par Lui et non le contraire, qu’on ne porte pas foi au Créateur par Sa créature, mais, plutôt, qu’on agisse en sens inverse. Ce qui nous mène à conclure que l’homme n’est ni contraint ni forcé à croire en Dieu.
L’âme comme la mort sont propriétés de Dieu. Nous avons reçu l’âme comme un dépôt d’Allah Qui le retirera, le temps venu.
Ô l’illustre assemblée ! Tout le monde pense qu’on doit disparaître, un jour, le Musulman comme le Chrétien, le Juif ou l’Hindou, le Croyant comme aussi l’incroyant, le bon, le dévot, le religieux semblable au mauvais, au faux-dévot, à l’incrédule.

Néanmoins la différence réside dans la manière de leur croyance : l’athée croit que la mort est la fin de la vie, comme un verre qui tombe de la main et se casse, le bonheur et le malheur n’existent que sur la terre, tout le reste est imagination. Tandis que pour le Croyant, la vie ne commence qu’après la mort, l’organisme retourne à la poussière d’où il est tiré, le corps meurt, mais l’âme reste vivante, elle est éternelle.
Je comprends et, vous aussi, la tristesse que les familles ressentent au plus profond d’elles par la disparition d’un des leurs, un proche, un parent, un frère ou une sœur. Mais qui peut mesurer l’intensité de la douleur quand le malheur vient frapper ses parents en enlevant leur jeune fils unique, la prunelle de leurs yeux, . . . .
le bâton de leur vieillesse, le fruit de leur veine, la moelle de leur épine dorsale ou, dans le langage de l’Imam Ali (as), le Commandeur des Croyants, ‘’une moisson que la voilà fauchée’’ ?
La mort est un pont qui unit les deux mondes : celui d’ici-bas où heurs et malheurs se succèdent et l’Au-delà qui est le Royaume de la Béatitude Céleste.

S’il ne nous est plus possible de faire le bien après la mort, il est, cependant, possible de bénéficier d’un bien que quelqu’un ferait pour nous: Invocation à Dieu en faveur du disparu, lectures du Noble Qour’an, rattrapage du Hajj (pèlerinage à la Mecque), des jours de Prières et de jeûnes manqués, distribution de nourritures, de biens et de services aux pauvres ou dans une institution charitable en son nom, des rassemblements de prières comme celle-ci dans une Mosquée ou ailleurs,  voilà des actes bénéfiques et d’autres encore qui pourraient rapporter des récompenses spirituelles aux défunts.
Une porte est fermée après la mort, celle d’accomplir les actes proprement dits, mais l’autre est grandement ouverte pour recevoir toutes les actions effectuées en faveur des morts par les vivants, car la Miséricorde Divine est très vaste, sans bornes ni limites et Allah aime Ses serviteurs.

Permettez-moi, mes respectables frères et sœurs, mes chers enfants, honorable assistance, de m’adresser à Marhoum Shahim (qu’Allah accueille son âme dans Son Royaume !) qui est absent de corps, mais son âme nous écoute et, également, à ses parents. Je dirai : estimez-vous heureux de vous trouver parmi cette Communauté qui se fond en pleurs, qui partage votre peine, dont les pensées vous accompagnent dans ces moments difficiles, qui a porté majestueusement le défunt à sa dernière demeure, qui prie sur lui et adresse des demandes de Grâces à Allah en sa faveur . . . .

Mais pensez un peu, comme moi, à ces corps déchirés des personnes innocentes qui sont terrassées par la mort, un peu partout dans le monde, à cause des cruautés de certains groupes malveillants, ces pays où l’enfant qui quitte son domicile paternel le matin pour rejoindre son école, en parcourant le chemin où, hélas, la mort le guette au coin de la rue, ne revoit plus ses parents.  
Nous ne savons pas où et comment sont-ils enterrés, les corps sont-ils recomposés entièrement, ont-ils conformément reçu leurs derniers sacrements, les parents ont-ils pu les inhumer et organiser le deuil, autant de questions qui restent sans réponse. . . .

Je me sens faible devant cette page de l’histoire de l’Islam, écrite à l’encre du sang et vous m’aiderez à imaginer la souffrance de notre Saint Prophète (saww) qui perdit ses 3 fils dans leur enfance, 2 à la Mecque et 1 à Médine, à l’âge de 60 ans. Plus bouleversante était cette douleur quand les Mecquois lui proféraient des injures en l’appelant ‘’ABTAR,’’ sans descendance, comme l’animal dont la queue a été amputée.

Je vous amène, maintenant, dans le désert brûlant de Karbala, en Iraq. C’était en l’an 61 de l’Hégire. Le petit-fils bien-aimé du Saint Prophète, l’Imam Houssain (as), assoiffé et affamé depuis 3 jours, accompagné de ses 70 Compagnons, des enfants en bas âge et des Dames de la noblesse, est entouré par des milliers de soldats. Lorsqu’il se trouva seul, ses chers Compagnons, ses frères, ses neveux, ses cousins et son jeune fils de 18 ans, du nom de son père ALI, mais qui ressemblait beaucoup à son grand-père, le Messager d’Allah, l’ont devancé auprès de Dieu, il apporta devant cette armée ennemie son bébé de 6mois, qui s’appelait aussi ALI, déshydraté, à la gorge sèche, au visage jauni et amaigri, aux lèvres desséchées, qui haletait, qui a du mal à respirer, l’Imam implora cette armée de lui donner un peu d’eau.

L’Imam porta haut Ali Asghar en levant ses mains et s’adressa à l’armée de Yazid : Ô soldats ! Cet enfant ne vous a fait aucun mal. Venez et donnez-lui quelques gouttes d’eau car sa bouche est sèche. Sa mère n’a pu l’allaiter depuis 3 jours. Aucun signe de la part de l’armée ennemie ne se manifesta.

L’Imam étala son tchador sur le sol, il y allongea son petit, s’éloigna du lieu et appela les guerriers à venir faire boire de l’eau à l’héritier de leur Prophète. Mais en vain !
L’Imam reprit son bébé, retourna à son premier lieu et renouvela son geste en parlant, maintenant, à Ali Asghar : Ô mon fils, montre-les que tu as soif ! Le nourrisson dressa sa tête, leur fit un doux sourire, ouvrit sa fine bouche,  ne pouvant pas encore parler, sortit sa petite langue qu’il tourna sur ses lèvres gercées, pour confirmer, par son mutisme, ce que venait d’avouer son père. Les soldats se mirent à pleurer en sanglots.
Omar Saad, le commandant de cette armée, ordonna à Hourmala, l’archer célèbre, de couper la parole à Houssain et le mettre au silence. Hourmala tira une flèche à 3 pointes qui sert, en général, à tuer un animal. Elle transperça le cou fatigué du nourrisson qui ne put ni pleurer, ni crier, n’ayant plus la force, la soif ayant précédé la flèche pour le faire taire. L’Imam retourna sur ses pas, mais hésita à pénétrer sous la tente où la mère attendait son bébé, dans l’espoir qu’il aurait étanché sa soif !   L’Imam s’avança et recula à 7 reprises, en prononçant, à chaque pas :


‘’Inna Lillahi wa Inna Ilayhi Rajioune,’’

Qu’Allah, par la Grâce de nos Saints Ma’ssoumines (as),

Accepte notre Prière, si courte soit-elle, en multipliant ses récompenses spirituelles et qu’Il les dédie au jeune Shahim,

Qu’Il lui pardonne ses péchés, grands ou petits,

Qu’Il place son âme dans un lieu paisible,

Loin de Ses Châtiments et près de Sa Miséricorde,

Qu’Il fasse de sa tombe un lieu de séjour heureux,

Qu’Il donne force et courage à ses parents, à sa sœur et à ses proches

Et allège leurs peines et souffrances !

A M Î N E !

Réciter : 1 fois la Sourate Al Hamd et 3fois la Sourate Al Ikhlaç



Article: Mulla Nissar

 

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